jeudi 1 octobre 2009

Bientôt un moyen de décupler votre chiffres d'affaires tout en valorisant les biens immo!


Bonjour à vous home stagers,

Savez-vous que vous aurez bientôt la possibilité de multiplier votre chiffre d'affaires en le complétant avec une activité tout à fait complémentaire?

Certains et certaines ont déja tendu vers divers réseau, tels que la chasse immobiliére, le courtage en travaux...ce qui reste une vrai double activité fastidieuse où il faut gérer temps et plannig...et attente des délais, des devis...
Bientôt, un nouveau réseau va voir le jour, il s'agit d'un réseau pour les particuliers qui vendent leurs biens immobiliers et qui prend en charge les visites et émet le compte rendu des impressions de l'acquéreur potentiel!
Evidemment les home stagers sont en première ligne!Voilà une belle opportunité de placer nos prestations et notre savoir faire, sans avoir affaire aux contraintes des agences immobilières qui souvent vérrouillent le processus.

Je vous en dit plus trés bientôt!!
N'hésitez pas à m'envoyer vos impressions et vos questions!

Info sur le crédit d'impôt et les panneaux photovoltaïques


D'un point de vue environnemental le photovoltaïque est très crédible puisqu'un panneau solaire est recyclable à plus de 99% et qu'il a produits plus d'énergie qu'il n'en a consommé lors de sa fabrication a partir de 3 à 5 années d'utilisations. En sachant qu'un panneau photovoltaïque a une durée de vie supérieure à 20 ans (tous les fabricants les garantissent d'ailleurs 15 à 25 ans) le calcul est sans appel

Malheureusement ces produits ont encore un faible rendement (et la recherche progresse lentement sur le sujet) puisque seulement 16% de l'énergie solaire reçue est convertie en énergie électrique ce qui les rends économiquement non rentable. Nos gouvernement sont donc contraints de prendre des mesures très couteuses pour stimuler les investissements.

Pour les particuliers français par exemple les avantages fiscaux sont nombreux et cumulable :

- Crédit d'impôt de 50% :

Le crédit d'impôt de 50% sur la valeur des marchandises TTC déductions faites des éventuelles subvention régionales ou locale (hors pose donc) peut être obtenu sous plusieurs conditions : l'installation doit faire moins de 3Kwc (puissance maximale théorique des panneaux donc sans rapport avec la production réel obtenue) ; L'installation est faite dans l'habitation principale du foyer fiscal ; Le bâtiment date de plus de trois ans ; l'installation est faite par un poseur agrée qualisol.
Le crédit d'impôts est plafonné à 8 000 € par adulte (16 000 € pour un couple) et majoré de 400 € pour le premier enfant, 500 € pour le second et 600€ à partir du troisième. Un crédit d'impôt contrairement à une réduction d'impôt est remboursable ce qui veut dire que si vous êtes non imposable l'état vous enverra un beau chèque.

- Subvention du conseil régional et de la mairie :

Chaque région et communes à ses propres pratiques en la matière.

- TVA au taux réduits de 5,5% :

Dans les mêmes conditions que pour le crédit d'impôts mais cet avantage couvre lui la pose.

- Financement par un crédit à taux zéro :

Dans la limite de 15 000 euros (projet de loi en court pour passer à 30 000 euros).

- Rachat de l'électricité produite à un tarif préférentiel :

EDF est tenu (dans les mêmes conditions que pour le crédit d'impôt) de racheter l'électricité produite pendant 20 ans à un tarif avantageux (en 2006 : 30 centimes le Kw/h ou 55 centimes le Kw/h si intégration au bâtit) réévaluer annuellement sur l'indice des prix.





Tous ces avantages permettent d'avoir un retour sur investissement de ces installations de l'ordre de 5 à 10 ans pour un investissement net de l'ordre de 10 000 euros (attention il faut généralement financer le double puisque le crédit d'impôt n'est obtenue que l'année suivant l'investissement).

Isolation : l’incontournable double vitrage


L’hiver approche. Avec lui, les températures basses. Pour éviter les déperditions de chaleur de votre logement, pensez, si vous n’en êtes pas encore munis, au double vitrage. Les performances thermiques s’en trouveront grandement améliorées. Sans parler de l’isolation acoustique.

Deux vitres séparées par un vide qui est comblé avec de l’air ou de l’argon (lame d’air agissant comme un isolant pour réduire l’effet de paroi froide et limiter la condensation) : voilà comment se présente la fenêtre double vitrage. Grâce à elle, votre facture énergétique peut diminuer de 10 % (réduction des pertes de chaleur de 40 %), et les nuisances sonores ne seront plus qu’un mauvais souvenir.

Les épaisseurs les plus courants proposés sur le marché son{encadre}t le 4/16/4 mm ou le 4/12/4 mm. En respectant les normes et l’installation par un professionnel, vous bénéficierez d’un crédit d’impôt et d’une TVA à 5,5 %. Et sachez aussi que vous pouvez financer les travaux grâce à l’éco-prêt à taux zéro.

Préférez le bois labélisé FSC !


Au cours du dernier siècle, la moitié des forêts tropicales a disparu. Et le phénomène se perpétue, jour après jour, au rythme inquiétant d’environ un hectare déboisé chaque seconde. Sans parler des coupes illégales, qui représenteraient près de 19 % des importations de bois dans l’Union européenne. Pour enrayer ce fléau, une seule solution : l’achat de produits portant l’écolabel FSC, qui garantit une gestion durable des forêts exotiques aux niveaux environnemental, social et économique.

L’ONG FSC (Forest stewardship council – Conseil de soutien de la forêt) a été créée en 1993 à la suite du Sommet de la Terre de Rio (juin 1992) à l’initiative de professionnels de la filière bois et d’associations écologistes. Elle certifie par son logo, connu et reconnu au niveau mondial, environ 10 000 produits (meubles, parquets, papier, charbon de bois,…), ainsi que la gestion forestière du site de production.

Pour cela, 56 critères et 10 principes sont retenus, parmi lesquels le respect des lois nationales et internationales, de la sécurité foncière des terres, des droits des peuples indigènes et des travailleurs. Et contrairement aux labels tels que la norme ISO 14 000, le FSC est le seul à imposer le respect des lois supranationales, comme les directives européennes. Pour l’acajou, le teck, le wenge ou encore l’ébène, c’est une bouffée d’air !

lundi 31 août 2009

Les ampoules se mettent au vert !



Êtes-vous plutôt écolo, économe ou esthète ? À chaque caractère, son ampoule.

A la question que me posait Cathy de ANNAN sur l'éclairage basse consommation :

Pas toujours évident de s'y retrouver, l'achat des lampes est pourtant a étudier de prés.Afin d'éviter de chercher un bon quart d'heure dans le rayon ou tenter de se faire renseigner par un vendeur introuvable, voici quelques petits conseils pour vous aider à choisir vos lampes...
A Savoir que :


Les ampoules écologiques : les fluocompactes

Si le respect de l'environnement est votre première préoccupation, les lampes fluorescentes sont pour vous. Les ampoules fluocompactes (entre 6 et 30 €) durent jusqu'à dix ans et consomment quatre fois moins d'électricité que les ampoules classiques. Ces lampes à économie d'énergie sont, pour l'instant, à réserver aux pièces dans lesquelles elles restent allumées car elles mettent plusieurs minutes pour éclairer complètement. Donc peu pratiques dans un escalier ou aux toilettes. Attention, ces ampoules contiennent une petite quantité de mercure (5 mg environ). Elles sont donc considérées comme des « déchets dangereux ». Ne les jetez pas à la poubelle, il existe des lieux de collecte spécifiques. Apportez-les là où vous les avez achetées. Selon Gaëlle Guérive, responsable des questions écologiques au quotidien pour WWF, les boutiques ont l'obligation de les recycler.

Les LED, les plus économiques

Vous cherchez les ampoules les plus économiques ? Les lampes à LED (diodes électroluminescentes) consomment six fois moins qu'un éclairage classique et durent jusqu'à 50 000 heures, soit une durée de vie 25 fois supérieure. Les diodes ne chauffent pas, ne craignent ni l'eau ni les variations de température et existent en différentes couleurs. Elles constituent un éclairage idéal à l'extérieur, dans un jardin, un balcon ou une terrasse. Avec les LED, vous pouvez ainsi créer des ambiances lumineuses et jouer sur les changements de couleurs.
Ma préférence, indéniablement, va pour celle-ci ..!

Halogène : l'option design

Si vous voulez plutôt des ampoules déco, les lampes à incandescence sont les seules à offrir des gammes de couleur ou à motifs, pour coller à n'importe quelle ambiance. Le fabricant Osram en propose de plusieurs types : les « relax » ou « active », afin d'éclairer différemment les atmosphères cosy ou dynamique. Ces ampoules classiques restent les plus consommées, malgré leur consommation élevée.
Pour les esthètes, les halogènes restituent la lumière la plus naturelle qui soit… même si ces lampes sont accusées – à juste titre d'ailleurs - d'être de grosses consommatrices d'énergie. Une lampe halogène de 100 W éclaire comme une ampoule classique de 150 W, donc consomme moins. Elle vit aussi deux fois plus longtemps, soit environ 2 000 heures.

Pour plus d'infos sur le recyclage des ampoules allez sur : www.recyclum.com

Maintenant, vous savez tout! Tous à vos lampes !

Optimisez la performance thermique de vos fenêtres !





“ Plus le UW est faible, meilleure est la performance thermique ”



Depuis début 2009, les ménages français peuvent profiter d'un prêt à taux zéro pour financer des travaux d'isolation thermique et d'économie d'énergie. Les foyers peuvent emprunter jusqu'à 30 000 euros par logement dans la limite de 300 euros par m². 80.000 logements pourraient être rénovés entre 2009 et 2012.

La performance thermique

Une fenêtre peut être soit une source d'apports caloriques (journée ensoleillée, façade sud..), soit une source de déperdition thermique (journée sans soleil, façade nord, nuit...). On mesure la performance technique des fenêtres par le sigle UW. Plus le UW est faible, meilleure est l'isolation. C'est pourquoi, quand on achète une fenêtre, il est conseillé de demander au vendeur la valeur du UW. En effet, c'est un élément qui doit être pris en compte parmi les critères de choix. Si le UW d'une fenêtre est important dans le choix d'une fenêtre, le TL et le SW le sont également. Le TL représente la transmission lumineuse. Quant au SW, il identifie le facteur solaire, c'est-à-dire la quantité d'énergie solaire passant par la fenêtre (par rapport au rayonnement incident). En effet, certains vitrages laissent peu passer l'énergie solaire. Plus ce SW est élevé, meilleur il est pour le confort d'hiver.


En toute logique, c'est le simple vitrage qui offre le meilleur facteur solaire. En revanche, c'est aussi celui dont le UW est le plus mauvais. Quant au triple vitrage, s'il limite au maximum les déperditions thermiques, il laisse moins bien passer la chaleur.

A ce jour, la fenêtre idéale n'existe pas. Il s'agit donc, dans chaque cas, de trouver le meilleur couple déperdition thermique/apport solaire en fonction de l'exposition de la fenêtre. Par exemple, une fenêtre située au Nord ne verra jamais le soleil. Le facteur solaire est donc peu important. En revanche, il s'agira de limiter au maximum les déperditions thermiques. A l'inverse, une fenêtre exposée au Sud devra avoir un bon facteur solaire afin que l'hiver, le moindre petit rayon de soleil participe au réchauffement de la pièce !!

La réglementation sur les fenêtres écologiques




Il existe deux réglementations concernant les fenêtres : l'une pour le neuf, l'autre pour la rénovation. La réglementation concernant sur les fenêtres neuves est la RT 2005. La réglementation pour les fenêtres de remplacement, dans le cadre d'une rénovation, est l'Arrêté du 3 mai 2007. Il s'agit de la toute première réglementation concernant un changement de fenêtres dans l'existant.

Ces deux arrêtés imposent des performances minimales en termes de déperdition thermique que l'on identifie par le sigle UW (nombre de watts/m2/degré Kalvin). Dans le neuf, le UW doit être inférieur ou égal à 2,6. Dans l'existant, il doit être inférieur à 2,3 pour les ouvrants à la française. La réglementation sur l'existant est plus stricte parce qu'elle est plus récente.

Pour aider les acheteurs, une certification à être mise en place pour les fenêtres PVC, bois et aluminium : Acotherm certifie la valeur du UW de la fenêtre. Veillez à ce que figure cette étiquette de certification figurent sur les fenêtres.

La pluie, source d'économies !



Le savez-vous? :

Il tombe en moyenne plus de 700 mm d'eau par an en France : bien assez pour arroser nos jardins, laver nos voitures et même subvenir aux besoins en eau de toute la maison. Il suffit de brancher un récupérateur sur la gouttière de notre habitation… et c'est parti pour les économies !

Un principe tout simple :

La toiture d'une maison de 100m2 au sol permet de récupérer entre 50 000 et 70 000 litres sur une année, un chiffre variable en fonction de l'inclinaison du toit et du taux de pluviométrie de la région. Il faut simplement installer sur les gouttières un collecteur pour filtrer l'eau. Celle-ci est ensuite stockée dans un réservoir, qui peut être enterré ou non. Et pour la distribution, la cuve est soit raccordée à votre réseau d'eau potable ou à un robinet de jardin.

Les petites cuves hors sol, pour arroser le jardin !

Pour choisir votre équipement, faites le point sur vos besoins. Si vous souhaitez utiliser l'eau récupérée uniquement pour arroser votre jardin et laver votre voiture, préférez une cuve de 200 à 800 litres. Vous en trouverez à partir de 40 € mais prévoyez de la cacher, avec des plantes grimpantes par exemple. Vous pouvez aussi augmenter votre budget et choisir un récupérateur autour de 100 €, beaucoup plus déco. Leurs formes et leurs couleurs ont en effet beaucoup évolué ces dernières années : jarre, colonne et même menhir, il y en a pour tous les styles. Pour les as de la récup', cherchez un ancien tonneau de vigneron en guise de réservoir pour une solution économique et esthétique.

Les grandes cuves enterrées, pour tous les besoins de la maison !

Si vous désirez arroser votre jardin, mais aussi alimenter vos WC, votre lave-linge et votre douche, il faut passer aux cuves enterrées, en béton de 10 ou 15m3. Opaque, à l'abri de la chaleur et du gel, la citerne est reliée à un récupérateur d'eau via plusieurs filtres. Une pompe assemble le tout à vos appareils électroménagers. La réserve en eau de pluie est épuisée ? Pas de panique, le système d'alimentation de la ville prend le relais. Pour l'installation et le matériel, vous dépenserez autour de 7 000 €. Un sacré investissement mais aussi des économies énormes à long terme : jusqu'à 80% en moins sur votre facture d'eau annuelle, en fonction de la capacité de votre cuve et du taux de pluviométrie de votre région !

Crédit d'impôt de 25% :

Le crédit d'impôt s'applique sur votre coût d'achat ou d'installation d'équipements de récupération des eaux de pluie et s'élève à 25%. Il concerne les dépenses payées entre le 1er janvier 2007 et le 31 décembre 2009. Il s'applique plus particulièrement pour les équipements des eaux de pluie collectées à l'aval de toitures, dont l'accès est inaccessible, et pour des utilisations exclusivement à l'extérieur de l'habitation. Pour bénéficier de ce crédit d'impôt, vous devrez joindre la facture établie par l'entreprise à votre déclaration de revenus. Renseignez-vous aussi auprès de votre mairie, car certaines communes proposent des primes à l'installation de récupérateurs d'eau.

Attention, l'eau de pluie n'est pas potable !

L'eau de pluie, douce et non calcaire cache bien son jeu ! Et oui, car elle n'est pas potable. Elle contient en effet de nombreux polluants présents dans l'atmosphère, nocifs pour notre organisme. Il faudra donc filtrer cette eau pour pouvoir la consommer.

Faire des économies d'énergie au quotidien, c'est facile !



“ Un degré de moins, c'est 7 % d'économie d'énergie ”

1/Quels sont les petits gestes du quotidien qui permettent de réaliser des économies d'énergie ?

Tout d'abord, réglez vos radiateurs à une température raisonnable. 19 °C pour les pièces à vivre comme le salon, la cuisine ou la salle à manger, et 16 °C pour les chambres, c'est suffisant pour s'y sentir bien. Un degré de moins, c'est 7 % d'économie d'énergie ! D'où l'intérêt de faire installer un système de gestion centralisée du chauffage, sorte de tableau de bord qui permet de régler la température dans chaque pièce. Sinon, installez au moins des thermostats sur chaque radiateur. Autres astuces : opter pour des ampoules à basse consommation, éteindre son téléviseur, son magnétoscope ou son boîtier wifi plutôt que de les laisser en veille.

2/Quels sont les appareils à éviter pour limiter sa consommation d'électricité ?

Les frigos américains ! Ils consomment deux fois plus qu'un réfrigérateur ordinaire. Le système de climatisation ordinaire est aussi un véritable gouffre. Lorsqu'il est en état de marche, il consomme plusieurs kilowatts. Autant que si on laissait son four chauffer à pleine puissance pendant le même laps de temps. Quand vous achetez un nouvel appareil, regardez les étiquettes de performance énergétique pour choisir le modèle le moins gourmand.

3/Comment faire pour cuisiner en consommant le moins d'électricité possible ?

Il n'y a pas véritablement de différence au niveau des appareils de cuisson. Les plaques à induction consomment davantage d'énergie mais elles cuisent plus vite que les plaques électriques en fonte. Une idée serait de préparer des quantités plus importantes à chaque fois que l'on cuisine. Ainsi, pour les repas suivants, il suffira de réchauffer ces restes, au lieu d'avoir à cuisiner à nouveau en utilisant son four ou ses plaques. Mais pour éviter les gaspillages, il faut surtout ne pas oublier de faire des petits gestes simples, comme couvrir sa casserole lorsqu'on veut faire bouillir de l'eau, ou mettre les produits surgelés à décongeler au réfrigérateur pendant quelques heures avant de les cuisiner. Non seulement ils cuiront plus vite que s'ils étaient encore congelés mais, pendant qu'ils sont en train de décongeler, ils aident à rafraîchir le réfrigérateur, lui permettant ainsi de fonctionner avec moins d'électricité. C'est donc une double économie.

4/Comment profiter au maximum des heures creuses pour réduire sa facture d'électricité ?

Selon les normes de sécurité, le chauffe-eau électrique doit avoir une ligne qui lui est spécialement dédiée sur le tableau électrique. En installant un contacteur sur cette ligne, le chauffe-eau se déclenche automatiquement au moment des heures creuses et permet ainsi de faire ses réserves d'eau chaude pendant la nuit. Pour le lave-linge ou le lave-vaisselle, les modèles les plus récents possèdent des programmateurs, qui permettent de régler l'heure à laquelle on souhaite les mettre en marche. Et si l'on a un appareil plus ancien, on peut placer un minuteur sur la prise électrique à laquelle est branché son lave-linge ou son lave-vaisselle. On en trouve dans tous les magasins de bricolage et l'on peut facilement l'installer soi-même. Il suffit alors de mettre l'appareil en position “marche” et de régler le minuteur pour qu'il ne laisse passer le courant qu'au déclenchement des heures creuses.

Faire des économies pour sa planète et son porte-monnaie, c'est une simple question de modification des habitudes,et si vous avez des enfants, écoutez-les,vous verrez qu'ils sont trés réceptif et pourraient même vous rapellez de débrancher un appareil sous-tension qui consomme pour rien..!

C'est la rentrée !



Le temps des vacances on en oublierai presque que ..ça y est c'est la rentrée!
Résolution certaine, cap sur les gestes économiques et écologiques plus que jamais!


1 /Se mettre aux énergies renouvelables :
JE REPONDS AUX QUESTIONS QUE VOUS VOUS POSER :

À quelles conditions peut-on installer des panneaux solaires chez soi pour produire son électricité ?

Si vous n'avez pas une maison orientée plein sud, avec un toit incliné à 30 degrés, ce qui est l'idéal, il est toujours possible d'installer des panneaux solaires. Tout d'abord, sachez qu'une cheminée fait de l'ombre et peut constituer un problème. Même chose si l'on a des Velux car ils prennent de la place sur le toit. Pour assurer les besoins d'une famille de quatre personnes, on conseille en effet d'installer 24 m2 de panneaux photovoltaïques, soit un investissement d'environ 20 000 euros. Pour le rentabiliser plus rapidement, mieux vaut revendre l'électricité que l'on produit car EDF va la racheter 57 centimes du kilowattheure, alors qu'elle ne la facture que 12 centimes du kilowattheure. On peut donc récupérer la différence.

À quelles conditions peut-on installer une éolienne chez soi pour produire de l'électricité ?

La première condition, c'est bien sûr d'être situé dans une zone assez exposée au vent. On a aussi besoin d'un permis de construire pour installer une éolienne de plus de douze mètres de haut. Ce n'est pas le cas pour les appareils plus petits mais ils sont assez peu efficaces, à l'exception des nouvelles éoliennes à axe vertical, adaptées à la ville, à condition d'habiter un immeuble avec une toiture plate. Il faut aussi s'attendre à un investissement important, de l'ordre de 25 ou 30 000 euros, pour une éolienne capable de produire 30 à 35 000 kilowattheures par an, soit de quoi satisfaire les besoins d'une famille de quatre personnes. Et si L'on peut le financer en partie grâce à un crédit d'impôt, il n'est par contre plus possible de revendre son surplus d'électricité à EDF, à moins d'habiter l'une des rares zones de développement éolien (Z.D.E).

Est-il possible de produire suffisamment d'électricité avec les énergies renouvelables pour être complètement auto-suffisant ?

Pour être totalement autonome en électricité grâce au solaire et à l'éolien, on doit nécessairement installer des batteries pour stocker son électricité. Il n'y a pas toujours du vent et, la nuit, lorsqu'on allume la lumière, il n'y a plus de soleil pour alimenter les panneaux photovoltaïques. La norme, c'est d'installer le nombre de batteries nécessaires pour stocker assez d'électricité pour satisfaire ses besoins pendant une dizaine de jours. C'est assez compliqué à mettre en place car il faut bien déterminer ses besoins pour être sûr de ne jamais manquer d'électricité. Cela coûte également assez cher, autant voire plus que l'installation des panneaux photovoltaïques. Soit un budget total d'au moins 40 000 euros pour une famille de quatre personnes. À cela s'ajoute la maintenance des batteries et leur remplacement, tous les cinq à sept ans.

Quelle solution choisir pour se chauffer grâce aux énergies renouvelables ?

Si l'on fait construire, il faut opter pour une solution géothermique avec une pompe à chaleur. C'est un système en circuit fermé, qui va produire de la chaleur grâce à un fluide caloporteur et un compresseur. Ce compresseur va certes avoir besoin d'être branché sur le réseau électrique pour fonctionner mais une pompe à chaleur avec un coefficient de performance de 4 va permettre de produire 4 kilowattheures d'électricité en consommant seulement 1 kilowattheure. Lorsqu'on a une chaudière au fioul, il est aussi possible d'installer une pompe à chaleur, qui va préchauffer le fluide à l'entrée de la chaudière et ainsi permettre de réduire fortement sa consommation de fioul. Vu le prix du fioul, on il est possible de récupérer son investissement en trois ou cinq ans. Dans une maison vraiment bien isolée, on peut également opter pour un poêle à bois ou un poêle à granulés, qui séduisent de plus en plus d'acheteurs.

dimanche 2 août 2009

Rubrique Home stager

Home stagers, Bienvenue!

Cette rubrique est la vôtre!
Des questions, des astuces, des facilités pour vos démarches, besoin d'une formation?
Postez vos questions et je vous réponds!

A bientôt!

Posez vos questions et proposer des sujets!

Vous avez des questions sur un sujet précis?
Besoin d'astuces pour faire revenir vore lino ou vos carrelages, comment décaper vos meubles et leur donner une nouvelle vie? ...

Vous avez des questions...Je vous donne des réponses! Alors n'hésitez pas à poster vos questions, toutes vos questions!!!
A bientôt!

vendredi 31 juillet 2009

Revêtement de sol écologique : le liège




Un matériau très complet
Résistant très facilement à l'humidité, le liège se pose dans toutes les pièces de la maison.
Il apporte par exemple beaucoup de confort, utilisé comme sol dans une salle de bains.
De par sa structure – des cellules remplies d'air qui le rendent imputrescible, c'est un parfait isolant thermique et phonique qui résiste aussi à l'effet de poinçonnement ; vous l'installerez sans problème dans une zone de fort passage.
Il n'est absolument pas attaqué par les insectes et ne dégage ni flammes ni fumées toxiques en cas d'incendie.


Une présentation pratique:


Généralement, vous trouverez le liège sous forme de dalles de 30 x 30 cm et en deux épaisseurs, ou sous forme de lames de 60 x 15 cm en 5 mm d'épaisseur, plutôt utilisées en cas de pose dans une pièce à circulation intense.


En ce qui concerne les finitions, si vous êtes adepte des sols traditionnels, optez pour le liège à cirer, qui s'entretient comme du bois. Si, au contraire, vous souhaitez renforcer la teinte naturelle ou même la colorer légèrement, achetez plutôt un liège à vernir. Cette finition autorise en plus la pose en milieu humide.
Même si la finition est réalisée en usine, il est toujours recommandé de passer une couche de vernis après la pose, qui uniformise la teinte et dissimule les joints tout en les rendant étanches.


Côté entretien
Les sols en liège nécessitent un entretien similaire à celui des parquets huilés ou vitrifiés. Passez l'aspirateur puis, si le sol est vraiment sale, un coup de serpillière légèrement humide, additionné d'un bouchon de « polish ». Nettoyez les taches immédiatement à l'éponge et ne laissez pas d'eau stagner.


Le Conseil du pro
Depuis peu, les fabricants, conscients de l'engouement récent pour ce matériau, proposent le parquet de liège, qui pourrait bien s'avérer le revêtement miracle de demain ! Ce sont des lames composées de quatre couches : la première, en résine transparente, assure la résistance et la facilité d'entretien, la deuxième, en liège, donne l'aspect décoratif, la troisième, toujours en liège, apporte élasticité et qualité isolante au revêtement, la dernière, une sorte de dossier en bois, rend la pose collée plus aisée.


BON À SAVOIR
N'hésitez pas à l'utiliser en pose verticale, sur les murs : vous serez surpris de la transformation radicale de l'ambiance et de la sonorité de la pièce. Comme au sol, sa texture et sa couleur apportent immédiatement un sentiment de confort et de chaleur. Il est particulièrement recommandé dans un grand volume, où vous pouvez l'utiliser comme soubassement pour donner un peu d'intimité. En revanche, évitez d'en recouvrir des murs entiers, notamment dans une petite pièce, car son aspect très présent aura tendance à étouffer un peu les volumes.

Entretien de vos sols...




Quelques petites réparations courantes sont à la portée de tout le monde… Encore faut-il connaître la marche à suivre. Voici quelques astuces pour résoudre tous vos petits problèmes de sol.



1/Quand le bois a bougé:

• Des lames de parquet qui grincent : agaçant, mais simple à repérer. Le bois n'aime pas trop les atmosphères chaudes et sèches. Vérifiez que les clous sont tous parfaitement enfoncés, puis saupoudrez les lames bruyantes de talc que vous ferez pénétrer avec une brosse souple.

Si le bruit persiste, clouez la lame récalcitrante dans un des angles avec de longs clous sans tête.

• Si vous voulez sortir de la maison en douce et que les marches en bois de votre escalier grincent, voici deux manières de les rendre parfaitement silencieuses :
En vous aidant d'un tournevis plat ou d'un ciseau à bois, soulevez légèrement la contremarche et glissez dans l'interstice un petit morceau de carton recouvert de colle à bois. Recommencez jusqu'à ce que la marche ne grince plus.
Si cela ne suffit pas, collez, sous l'escalier, dans l'angle de la marche et de la contremarche, un morceau de bois triangulaire. Renforcez le collage avec des vis.






• Au fil du temps, les parquets anciens se rétractent souvent un peu, laissant apparaître des interstices entre les lames : nid à poussière, passage de courants d'air ou simplement souci esthétique, voici la recette d'une pâte à reboucher aussi pratique que facile à confectionner.
"Le pas à pas"

1
Dans un sceau, faites tremper de la sciure de bois bien fine durant 2 à 3 heures.


2
Confectionnez de la colle à papier peint en suivant les indications du fabricant, ou utilisez de la colle à bois, puis mélangez la colle à la sciure pour obtenir une pâte assez souple. Vous pouvez, à ce stade, ajouter un peu de pigments naturels ou de teinte à bois en phase aqueuse.


3
Au couteau à enduire, appliquez cette pâte sur les fentes et trous du parquet que vous aurez soigneusement dépoussiérés. Laissez sécher au moins 24 heures avant de poncer, puis de passer une finition.






2/Quand le carrelage accuse les ans:

• Pour raviver le rouge des tommettes anciennes, utilisez, après les avoir dépoussiérées et lavées au savon noir liquide, de la cire incolore, que vous passerez au pinceau. Après 24 heures de séchage sans entrer dans la pièce, passez une couche de cire tiède additionnée de pigment rouge. Laissez sécher quelques heures avant de lustrer au chiffon de laine.
Pour un entretien ultérieur simplifié, passez un imperméabilisant de surface ou produit hydrofuge prêt à l'emploi.
Il laisse respirer la terre cuite toute en la protégeant des taches d'eau.

• Fabriquez un nettoyant maison en mélangeant, dans une bouteille ou un bidon, 25 g de bicarbonate de soude, 10 cl d'ammoniaque et 5 cl de vinaigre blanc avec 1,5 l d'eau chaude. Remuez vigoureusement et utilisez sur les carrelages clairs avant de rincer à l'eau chaude.

• Versez sur les joints noircis du jus de citron. Si, après lavage, ils ne sont pas encore très nets, frottez-les avec une brosse de chiendent ou avec une vieille brosse à dents.

• Effacez les taches de rouille en les couvrant de blanc d'Espagne. Après une nuit, aspirez… La rouille devrait avoir disparu!

Poser un revêtement de sol naturel !




Au moment de choisir votre revêtement de sol, posez-vous les bonnes questions afin de faire le bon achat.

Avant d'acheter votre revêtement de sol, faites-vous bien conseiller par le vendeur ou par l'artisan qui assurera la pose.
En effet, certains types de sols seront à éviter ou à privilégier en fonction du trafic et de l'entretien de votre pièce. Pour n'importe quel revêtement, lisez bien les étiquettes.

Il existe un classement UPEC propre au marché français :

U pour usure,
P pour poinçonnement,
E pour étanchéité et
C pour produits chimiques.

Le degré de résistance est noté de 1 à 4 (par exemple 1 pour trafic faible jusqu'à 4 pour trafic intense). La classe 2 convient bien pour les chambres et les séjours. Pour un bureau, on sera attentif à choisir un classement P3 pour un bureau, et U3 ou U4 pour une entrée ou un escalier. Quant à la résistance au feu, elle est représentée par la lettre M et avec des notes allant de 0 (incombustible) à 5 (très facilement inflammable).

Si vous optez pour de la moquette, il existe un label écologique européen : le GUT 10009. Une moquette labellisée est produite dans le respect de l'environnement, sans substance toxique. Les émissions et odeurs sont réduites au minimum et les déchets de production et moquettes usagées peuvent être recyclés.

Avant la pose, le sol devra être préparé pour être plan et propre. Les revêtements en fibres végétales sur sous-couche de latex sont toujours encollées afin d'éviter qu'elles ne se gondolent. La technique est à peu près la même que pour la moquette mais les fibres naturelles sont parfois assez difficiles à couper.

Quand le changement de sol intervient dans le cadre d'un changement de déco, la TVA sera à 19,6 %. En revanche, s'il s'agit d'une rénovation entière d'une pièce dans un logement de plus de deux ans, la pose d'un revêtement souple bénéficie de la TVA à 5,5 %. Attention, pour bénéficier de ce taux avantageux, le sol et la colle devront être achetés par un professionnel. Si vous achetez en direct, c'est la TVA à 19,6 % qui s'impose!!

De la noix de coco sur vos murs !




Mon premier est un produit naturel, mon second vient du Brésil et mon troisième sert de revêtement d'intérieur… C'est la noix de coco bien sûr!


Après avoir investit le monde des cosmétiques, la noix de coco rentre dans la maison pour tapisser le sol et les murs. C'est la petite entreprise Art Unic, crée en début d'année 2009 qui, grâce à ses deux fondateurs passionnés d'écologie et de design, Luciana Muniz et Hervé Morlet, importe les revêtements Ekobe directement du Brésil. En effet, ces revêtements d'un genre nouveau sont réalisés à partir d'écorce de noix de coco dans la petite ville de Maceió, située au nord est du pays. Dans un processus de développement durable, les écorces de noix de coco sont agglomérées en dalles de 42x42cm ou 42x84cm et ceci sans couper aucun arbre.

Trois lignes de produits ont été développées et 37 modèles sont disponibles pour des effets très différents puisque le produit peut être teinté, poli, ou avoir une finition rustique. La pose des plaques d'écorce de noix de coco est identique à celle du carrelage. Côté prix, comptez en moyenne 210 euros pour un mètre carré.
Art Unic développe également une gamme d'objets en écorce de noix de coco comprenant des plateaux, des miroirs, des tables basses… La petite entreprise prévoit déjà des nouveautés pour la rentrée comprenant de nouveaux panneaux décoratifs, des lampes, du mobilier…

Le récupérateur d'eau, c'est pas bidon!



Récupérer l'eau de pluie, c'est à la fois très simple pour vous et esthétique pour votre jardin !
Loin de l'image du vieux bidon, il existe sur le marché des modèles de cuves très déco. Installées sous une arrivée de gouttières, elles vous permettront d'économiser de l'eau du robinet pour arroser votre jardin. Vous trouverez plusieurs modèles en jardineries : en bois ou plastique, rectangulaires, ronds, en forme de jarre ou même de menhir, pour des capacités de 200 à 800 litres. Côté budget, comptez minimum 50 € pour un récupérateur à la fois beau et pratique.

Récupérateur d'eau de pluie mural:

Un récupérateur d'eau mural très déco, qui vous permettra d'arroser votre jardin de façon 100% naturelle. H. 54 cm(photo ci dessus)
www.natureetdecouvertes.com
Prix : 49.00 €

Récupérateur d'eau "Nika":

Récupérateur d'eau de pluie, Nika se compose d'un bac en pin de Pologne avec couvercle et robinet.
Contenance : 400 litres
www.lapeyre.fr
Prix : 159.00 €

Récupérateur d'eau de pluie Truffaut:

Collecteur d'eau de pluie contenance 800 litres, en bois naturel solide. Protection contre le gel et imperméabilisation spéciale. Fourni avec une bâche de protection.
www.truffaut.com
Prix : 155.00 €

Aménager un jardin écologique sans se planter!




Pour penser écologique, les recettes sont simples : il suffit de mettre des végétaux qui demandent peu d'entretien et sont adaptés au sol, tout en limitant au maximum les interventions mécaniques et chimiques.
Amaury Gallon, paysagiste-botaniste, témoigne, ses conseils peuvent vous intérresser:



Quels sont les végétaux que vous recommandez lors de la constitution d'un jardin écologique ?

"Il faut prendre le parti de mettre des végétaux qui ne se taillent pas, se fauchent rarement et sont peu friands en eau. Les graminées qui ont peu de parasites sont l'exemple type des plantes qui demandent le moins d'entretien ; si vous prenez des graminées persistantes, il n'y a pas de taille à effectuer. La prairie fleurie constituée à partir de fleurs vivaces, de fleurs des champs et de graminées, ne nécessite qu'une fauche par an pour avoir une remontée de fleurs. Si on veut qu'elle soit composée de vivaces, il suffit de sélectionner des plantes vigoureuses, peu sujettes aux maladies, comme les verbena ou encore les valérianes, qui se ressèment naturellement."

Quels sont les matériaux préconisés ?

"Ce qui est intéressant, c'est de recourir à des matériaux de recyclage. On peut utiliser des pétales d'ardoises récupérées de chutes de toitures et en faire un paillis pour revêtir et protéger le sol. Vous pouvez aussi réaliser des paillis de végétaux de paille, de cacao ou encore d'écorces de pin. Pour empêcher la levée de mauvaises herbes, un léger feutre géotextile s'avère efficace à 90% et consomme en plus moins d'eau en empêchant son évaporation. Pour les installations rocailleuses, on peut récupérer des pierres lors de constructions de maisons, comme les pierres de meulière dans le sol du Bassin parisien... Concernant les terrasses, étant donné qu'on peut difficilement contrôler la provenance du bois exotique, évitez de l'utiliser et préférez l'alternative écologique du bois thermo-traité."

Y a-t-il des astuces pour un entretien paysager respectueux de l'environnement ?

"Si on a bien conçu l'aménagement paysager de son jardin écologique, il n'y aura pas besoin d'eau du tout, à part en cas de canicule extrême ou pour certaines plantes comme la fougère. Dans ce cas, il faut prévoir un arrosage avec récupération d'eau de pluie. L'idéal, c'est de fonctionner avec un arrosage en goutte à goutte. Concernant l'engrais, le mieux, c'est d'avoir un silo à compost. Ne pas hésiter à y mettre ces épluchures de légumes et tout ce qui est biodégradable. Ce fumier enrichira le sol en créant une terre arable efficace sur du long terme. Pour ceux qui n'ont pas la place d'installer ce silo, la corne et le sang séché, vendus dans les commerces, sont des engrais biologiques très efficaces."

Un jardin qui évolue avec le temps, selon l'ordre naturel, c'est possible ?

"Il est possible de créer un jardin qui se déplace si on réalise une prairie fleurie constituée de plantes vivaces : en semant par zones, on peut prévoir chaque année de faire des passages différents. En fauchant à un endroit, on peut complètement faire évoluer son jardin. Pour le guider un peu et conserver des espaces libres, il suffit de faire quelques zones de revêtements minéraux aux endroits voulus."

Les jardins de Babylone, est spécialisée dans la constitution de jardins écologiques et de murs végétaux.

> Plus d'infos www.jardinsdebabylone.fr

Les gestes écologiques simples pour chasser les moustiques!



Nuits sans sommeil, soirées en plein air gâchées ou démangeaisons au réveil, l'été c'est aussi la saison des moustiques ! Attirés par les eaux stagnantes et la chaleur, ils s'invitent chez vous et hantent vos journées. Pour tenter de mettre un terme au fléau des piqures, voici quelques gestes écologiques simples pour éviter l'invasion.



1/Plantez des répulsifs écologiques :

Certaines plantes telles que la citronnelle, les géraniums, les soucis, le citronnier, le basilic à petites feuilles ou les népétas sont réputées formée une barrière répulsive naturelle contre les insectes piqueurs. Dans des bacs ou des parterres, elles seront un allié esthétique sur votre terrasse ou votre balcon.


2/Lutter contre les eaux croupies et stagnantes:

Bien que pouvant parcourir plus d'un kilomètre pour s'alimenter, les moustiques résident généralement à proximité de leur lieu de ponte : l'eau. Bassins, mares et mêmes flaques d'eau sont des lieux de ponte tout indiqués. Pour vous débarrasser des œufs et des larves, introduisez des poissons consommateurs de larves : dans un bassin l'ide mélanote sera la bienvenue et si l'eau de votre bassin dépasse atteint 20 degrès, les guppys y feront sensation.


3/Tondez la pelouse:

Les hautes herbes forment un refuge humide idéal et à l'abri des prédateurs pour pour les petits nuisibles. En coupant régulièrement votre gazon à ras, vous limiterez leurs chances de prolifération.


4/Attirez les oiseaux:

Un abri en bois ou une distribution régulière de graines contribueront à attirer les oiseaux, prédateurs de choix contre les moustiques. Au nombre des chasseurs de renom, les hirondelles noires ont une réputation de mangeuses efficaces de moustiques.


5/Familiarisez-vous avec les chauves-souris:

Lorsque la température diminue, les moustiques nous repèrent mieux la nuit et c'est donc une fois le soleil couché que notre vulnérabilité est maximale.
Les chauves-souris sont des prédateurs redoutables contre les moustiques. Confectionner leur un abri ou elles puissent s'abriter pendant la journée et elles formeront une garde rapprochée de luxe.

Quelques astuces pour vos terrasses!

Quelques conseils...

Sachez que plus les dalles seront grandes, plus elles donneront une impression d'espace. Plus elles seront petites, plus votre terrasse semblera intime.
L'exposition de la terrasse peut aussi conditionner votre choix. Certains matériaux (l'ardoise, par exemple) emmagasinent tellement la chaleur qu'il devient difficile d'y marcher pieds nus en plein soleil. A l'ombre, évitez le bois exotique si vous n'aimez pas quand le bois se mette à griser.
Attention à la qualité des bois. Le pin traité trop bon marché, par exemple, risque d'être plein d'échardes et de voir ses planches vriller au bout de quelques années.
Si vous n'êtes pas bricoleur vous-mêmes, faites appel à un artisan expérimenté, qui saura vous conseiller. Evitez ceux qui n'ont pas l'habitude de faire des terrasses. Cela ne s'improvise pas.


Bon à savoir :
Si votre terrasse est surélevée à plus de 60 cm de hauteur par rapport au sol, un permis de construire est obligatoire.
La construction d'une terrasse peut faire augmenter le coefficient de la taxe d'habitation d'une maison. Si vous changez le matériau de votre terrasse ou que vous rénovez le sol existant, la TVA à 5,5 % s'applique.
En revanche, pour la construction d'une terrasse neuve ou l'extension d'une terrasse existante, vous n'échapperez pas à la TVA à 19,6 %.

La terrasse en béton, actuelle





Le béton désactivé, enrichi en agrégats colorés de ciment, de pigments minéraux et d'adjuvants divers permet aujourd'hui de créer des sols extérieurs visuellement intéressants.
C'est le matériau le moins cher du marché (à partir de 55 € le m_ pose comprise). Il existe une vaste palette de couleurs et de grains, parfait pour créer une terrasse personnalisée. Très adaptable, on peut l'utiliser sans découpe, y compris sur une forte pente.

On trouve deux procédés différents : Le béton imprimé, qui permet de recréer le rendu de la pierre, et le béton au pochoir, idéal pour personnaliser son sol. Petit conseil : utilisez une résine bouche-pores pour rendre le béton imperméable et le protéger contre les taches.
N'importe qui ne peut pas s'improviser maçon. Un béton mal posé finit par se fissurer. Faites appel à un professionnel!!

La terrasse en carreaux de terre cuite...



La terre cuite est un matériau utilisé depuis peu de temps pour les sols de terrasses. Mais pour être moins fragile et moins poreuse, elle doit être cuite à très haute température, ce qui lui confère une teinte plus foncée. Les terres cuites pour l'extérieur résistent au gel et au mauvais temps. Fabriquées dans une grande épaisseur, elles se patinent au fil des années sans s'user et peuvent dure, paraît-il, des siècles ! Elles sont naturellement antidérapantes, contrairement au carrelage, et ont aussi l'avantage de ne pas éblouir quand il fait grand soleil mais peuvent devenir très chaudes. On trouve des carreaux de terre cuite industriels à partir de 30 € le m_ mais attention à la qualité. Un peu plus haut de gamme, les carreaux mécaniques (à partir de 40 €). Le top restant les carreaux traditionnels cuits au feu de bois (à partir de 60 €). Attention aux carreaux importés des pays du Sud : ils ne sont pas conçus pour résister au gel!!
Pour la pose, faites appel à un professionnel.

La terrasse en pierre reconstituée

La pierre reconstituée est faite d'éléments naturels qui ont été broyés puis recomposés. Si la pierre reconstituée n'est pas considérée comme un matériau noble, elle permet en revanche, grâce aux liants qu'elle contient, d'apporter des propriétés intéressantes. Par exemple, des dalles en pierre reconstituée peuvent avoir une apparence de pierre calcaire sans avoir les inconvénients de porosité du calcaire.
Les pièces étant moulées, on trouve des dalles ressemblant à s'y méprendre à de la vraie pierre, à de la terre cuite ou même à du bois. Avec une pierre imitant le teck, plus de problème de conscience face aux problèmes de déforestation que l'on connaît. En plus, c'est beaucoup moins cher (à partir de 45 € le m_).
La pierre reconstituée est facile à poser, sur chape ou du petit gravier. Un maçon ou un carreleur peut vous le faire facilement.

La terrasse en pierre naturelle ...authentique!




C'est le matériau noble par excellence.Heureusement, son prix a beaucoup baissé!

On en trouve désormais à partir de 35 € le m_ pour une pierre simple comme la pierre de Bourgogne. La pierre naturelle résiste aussi bien aux chocs et aux taches qu'aux UV et peuvent durer des centaines d'années, si l'on évite les pierres trop fines (qui peuvent finir par se casser). On en trouve dans toutes les formes et dimensions. Bien harmonisées avec le style architectural de la maison, elle lui un cachet supplémentaire. La pierre conserve la chaleur du soleil sans jamais devenir brûlante. Le soir venu, elle reste tiède longtemps, ce qui la rend particulièrement agréable pour les soirées d'été. Autre avantage, et non des moindres : la pierre naturelle ne nécessite presque pas d'entretien, à part un coup de balai brosse et d'eau savonneuse de temps en temps.

La pierre est souvent brossées ou striée voire mouchardée pour la rendre antidérapante. Toutes les pierres ne résistent pas au gel alors renseignez-vous avant. De même, certaines pierres poreuses noircissent en vieillissant. Si elles vous plaisent vraiment, utilisez un vitrificateur!

La terrasse en bois, nature et chaleureuse.




Le bois est un matériau noble et chaleureux. Il ne brûle pas les pieds, même sous un soleil de plomb. Il permet en outre de faire des effets visuels intéressants car les lames peuvent être posées de multiples façons : verticalement, horizontalement, en biais... Le bois est relativement facile à poser et il permet d'aménager un sol non stabilisé ou en forte pente.

On trouve du pin à partir de 15 € le m_ mais il vieillit souvent mal et ne dure pas plus de dix ans.
Le prix du bois s'envole vite dès lors qu'on choisit une variété exotique imputrescible comme le teck, le padouck ou l'ipé (entre 100 et 300 € pose le m_ pose comprise), qui peuvent durer plusieurs décennies sans bouger. Attention aux bois exotiques bon marché, de mauvaise qualité qui risquent de se déformer rapidement.
Dans tous les cas, achetez du bois issu de forêts gérées durablement, si possible avec label FSC ou PEFC.


Bon à savoir : le bois exotique grisent avec le temps. Un phénomène que l'on peut toutefois éviter en passant chaque année une couche de saturateur.
Petit conseil : évitez les lames vissées, à cause de l'oxydation des vis. Préférez les assemblages par cales ou par bouchons.
et petit conseil d'entretien : pour traiter vos planchers, il suffit de préparer votre mélange vous même avec 1/4 litre d'essence de térébhentine et 1/4 de litre huile de lin pour une surface d'environ 12 m2 à passer au pinceau...et voilà!

DOSSIER TERRASSE : Les terrasses s’offrent de jolis revêtements...



Vous pensez à (re)faire votre terrasse ?

Deux critères entrent en ligne de compte : le budget et le look. Sachant que le premier peut conditionner le second. Alors quels sont revêtements de sol extérieurs qui s'offrent à vous ?
Je vous dis tout dans les prochains éditos !

Couleur et fantaisie sur la terrasse ou le balcon!



“ Créer l'idée du coin de nature qui vous ressemble...! ”

Quelles couleurs pour votre jardin, votre terrasse, vos balcons ??


Les Bonnes Couleurs :
Espace intermédiaire entre la nature et l'intérieur, la terrasse constitue un havre de vie. La manière dont vous l'aménagez reflète votre relation à la nature. En ville, y créer un poumon vert est très apaisant. Toutes les variations de cette couleur peuvent y foisonner, de manière plus ou moins importante selon l'effet souhaité. Outre le vert, le brun de l'arbre est le bienvenu, dans les lattes d'un plancher ou des caillebotis. Des taches de couleurs peuvent être apportées au gré des saisons : les rouges du géranium pour nous ancrer dans l'été, les mauves des bruyères à l'automne, les jaunes et blancs des narcisses et jonquilles au printemps. La terrasse idéale et énergétique abrite les cinq éléments et la couleur qui lui est associée (bois, terre, métal, eau, feu).


Les teintes à éviter

Si vous possédez une terrasse très urbaine, peu pourvue en plantes et en fleurs, veillez à ne pas y reproduire les codes couleurs de votre intérieur. Un sol ou des murs blancs ne favorisent pas la détente, n'invitent pas aux réunions d'amis. Les coloris mauves et fuchsia, très tendances, ne conviennent pas à l'extérieur et risquent de vous paraître irritants. Pour vous sentir bien sur la terrasse, il est important d'y créer l'idée du coin de nature. Un plancher de bois et des transats assortis, recouverts de tissu gai, peuvent suffire.

Bienvenue à tous!




Bonjour et bienvenue!


Voici un Blog qui a pour but de vous apporter des conseils et des idées en décoration d'intérieur ,mais aussi sur vos petits travaux de bricolage ainsi que des astuces judicieuses pour composer librement pour pas cher dans votre petit nid douillet....


Besoin de conseils pour les home stagers?
Participez , postez et trouvez tous les renseignements dont vous aurez besoin pour mener à bien votre projet!


........et dans tout ça vous me direz c'est quoi le truc en plus....

Le truc en plus?

C'est l'accés aux informations pour vos travaux et déco avec des matériaux écologiques!


Stop aux idées préconçues sur les prix trop cher de l'éco- matériel! C'est ACCESSIBLE! Tout est possible, il y en a pour tous, pour tous les goûts et tous les budgets !
Parcequ'il nous incombe à tous de changer nos habitudes dés aujourd'hui, commençons par nos maisons!


J'oubliais de me présenter..:
Je m'appelle Arabelle L, je suis décoratrice d'intérieur ,courtier en travaux et consultant en valorisation de l'habitat (home stager).


Vous voulez en voir un peu plus... allez sur http://www.decoconcepthabitat.sitew.com/, et vous y trouverez mes coordonnées!

A trés vite!
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