lundi 31 août 2009

Les ampoules se mettent au vert !



Êtes-vous plutôt écolo, économe ou esthète ? À chaque caractère, son ampoule.

A la question que me posait Cathy de ANNAN sur l'éclairage basse consommation :

Pas toujours évident de s'y retrouver, l'achat des lampes est pourtant a étudier de prés.Afin d'éviter de chercher un bon quart d'heure dans le rayon ou tenter de se faire renseigner par un vendeur introuvable, voici quelques petits conseils pour vous aider à choisir vos lampes...
A Savoir que :


Les ampoules écologiques : les fluocompactes

Si le respect de l'environnement est votre première préoccupation, les lampes fluorescentes sont pour vous. Les ampoules fluocompactes (entre 6 et 30 €) durent jusqu'à dix ans et consomment quatre fois moins d'électricité que les ampoules classiques. Ces lampes à économie d'énergie sont, pour l'instant, à réserver aux pièces dans lesquelles elles restent allumées car elles mettent plusieurs minutes pour éclairer complètement. Donc peu pratiques dans un escalier ou aux toilettes. Attention, ces ampoules contiennent une petite quantité de mercure (5 mg environ). Elles sont donc considérées comme des « déchets dangereux ». Ne les jetez pas à la poubelle, il existe des lieux de collecte spécifiques. Apportez-les là où vous les avez achetées. Selon Gaëlle Guérive, responsable des questions écologiques au quotidien pour WWF, les boutiques ont l'obligation de les recycler.

Les LED, les plus économiques

Vous cherchez les ampoules les plus économiques ? Les lampes à LED (diodes électroluminescentes) consomment six fois moins qu'un éclairage classique et durent jusqu'à 50 000 heures, soit une durée de vie 25 fois supérieure. Les diodes ne chauffent pas, ne craignent ni l'eau ni les variations de température et existent en différentes couleurs. Elles constituent un éclairage idéal à l'extérieur, dans un jardin, un balcon ou une terrasse. Avec les LED, vous pouvez ainsi créer des ambiances lumineuses et jouer sur les changements de couleurs.
Ma préférence, indéniablement, va pour celle-ci ..!

Halogène : l'option design

Si vous voulez plutôt des ampoules déco, les lampes à incandescence sont les seules à offrir des gammes de couleur ou à motifs, pour coller à n'importe quelle ambiance. Le fabricant Osram en propose de plusieurs types : les « relax » ou « active », afin d'éclairer différemment les atmosphères cosy ou dynamique. Ces ampoules classiques restent les plus consommées, malgré leur consommation élevée.
Pour les esthètes, les halogènes restituent la lumière la plus naturelle qui soit… même si ces lampes sont accusées – à juste titre d'ailleurs - d'être de grosses consommatrices d'énergie. Une lampe halogène de 100 W éclaire comme une ampoule classique de 150 W, donc consomme moins. Elle vit aussi deux fois plus longtemps, soit environ 2 000 heures.

Pour plus d'infos sur le recyclage des ampoules allez sur : www.recyclum.com

Maintenant, vous savez tout! Tous à vos lampes !

Optimisez la performance thermique de vos fenêtres !





“ Plus le UW est faible, meilleure est la performance thermique ”



Depuis début 2009, les ménages français peuvent profiter d'un prêt à taux zéro pour financer des travaux d'isolation thermique et d'économie d'énergie. Les foyers peuvent emprunter jusqu'à 30 000 euros par logement dans la limite de 300 euros par m². 80.000 logements pourraient être rénovés entre 2009 et 2012.

La performance thermique

Une fenêtre peut être soit une source d'apports caloriques (journée ensoleillée, façade sud..), soit une source de déperdition thermique (journée sans soleil, façade nord, nuit...). On mesure la performance technique des fenêtres par le sigle UW. Plus le UW est faible, meilleure est l'isolation. C'est pourquoi, quand on achète une fenêtre, il est conseillé de demander au vendeur la valeur du UW. En effet, c'est un élément qui doit être pris en compte parmi les critères de choix. Si le UW d'une fenêtre est important dans le choix d'une fenêtre, le TL et le SW le sont également. Le TL représente la transmission lumineuse. Quant au SW, il identifie le facteur solaire, c'est-à-dire la quantité d'énergie solaire passant par la fenêtre (par rapport au rayonnement incident). En effet, certains vitrages laissent peu passer l'énergie solaire. Plus ce SW est élevé, meilleur il est pour le confort d'hiver.


En toute logique, c'est le simple vitrage qui offre le meilleur facteur solaire. En revanche, c'est aussi celui dont le UW est le plus mauvais. Quant au triple vitrage, s'il limite au maximum les déperditions thermiques, il laisse moins bien passer la chaleur.

A ce jour, la fenêtre idéale n'existe pas. Il s'agit donc, dans chaque cas, de trouver le meilleur couple déperdition thermique/apport solaire en fonction de l'exposition de la fenêtre. Par exemple, une fenêtre située au Nord ne verra jamais le soleil. Le facteur solaire est donc peu important. En revanche, il s'agira de limiter au maximum les déperditions thermiques. A l'inverse, une fenêtre exposée au Sud devra avoir un bon facteur solaire afin que l'hiver, le moindre petit rayon de soleil participe au réchauffement de la pièce !!

La réglementation sur les fenêtres écologiques




Il existe deux réglementations concernant les fenêtres : l'une pour le neuf, l'autre pour la rénovation. La réglementation concernant sur les fenêtres neuves est la RT 2005. La réglementation pour les fenêtres de remplacement, dans le cadre d'une rénovation, est l'Arrêté du 3 mai 2007. Il s'agit de la toute première réglementation concernant un changement de fenêtres dans l'existant.

Ces deux arrêtés imposent des performances minimales en termes de déperdition thermique que l'on identifie par le sigle UW (nombre de watts/m2/degré Kalvin). Dans le neuf, le UW doit être inférieur ou égal à 2,6. Dans l'existant, il doit être inférieur à 2,3 pour les ouvrants à la française. La réglementation sur l'existant est plus stricte parce qu'elle est plus récente.

Pour aider les acheteurs, une certification à être mise en place pour les fenêtres PVC, bois et aluminium : Acotherm certifie la valeur du UW de la fenêtre. Veillez à ce que figure cette étiquette de certification figurent sur les fenêtres.

La pluie, source d'économies !



Le savez-vous? :

Il tombe en moyenne plus de 700 mm d'eau par an en France : bien assez pour arroser nos jardins, laver nos voitures et même subvenir aux besoins en eau de toute la maison. Il suffit de brancher un récupérateur sur la gouttière de notre habitation… et c'est parti pour les économies !

Un principe tout simple :

La toiture d'une maison de 100m2 au sol permet de récupérer entre 50 000 et 70 000 litres sur une année, un chiffre variable en fonction de l'inclinaison du toit et du taux de pluviométrie de la région. Il faut simplement installer sur les gouttières un collecteur pour filtrer l'eau. Celle-ci est ensuite stockée dans un réservoir, qui peut être enterré ou non. Et pour la distribution, la cuve est soit raccordée à votre réseau d'eau potable ou à un robinet de jardin.

Les petites cuves hors sol, pour arroser le jardin !

Pour choisir votre équipement, faites le point sur vos besoins. Si vous souhaitez utiliser l'eau récupérée uniquement pour arroser votre jardin et laver votre voiture, préférez une cuve de 200 à 800 litres. Vous en trouverez à partir de 40 € mais prévoyez de la cacher, avec des plantes grimpantes par exemple. Vous pouvez aussi augmenter votre budget et choisir un récupérateur autour de 100 €, beaucoup plus déco. Leurs formes et leurs couleurs ont en effet beaucoup évolué ces dernières années : jarre, colonne et même menhir, il y en a pour tous les styles. Pour les as de la récup', cherchez un ancien tonneau de vigneron en guise de réservoir pour une solution économique et esthétique.

Les grandes cuves enterrées, pour tous les besoins de la maison !

Si vous désirez arroser votre jardin, mais aussi alimenter vos WC, votre lave-linge et votre douche, il faut passer aux cuves enterrées, en béton de 10 ou 15m3. Opaque, à l'abri de la chaleur et du gel, la citerne est reliée à un récupérateur d'eau via plusieurs filtres. Une pompe assemble le tout à vos appareils électroménagers. La réserve en eau de pluie est épuisée ? Pas de panique, le système d'alimentation de la ville prend le relais. Pour l'installation et le matériel, vous dépenserez autour de 7 000 €. Un sacré investissement mais aussi des économies énormes à long terme : jusqu'à 80% en moins sur votre facture d'eau annuelle, en fonction de la capacité de votre cuve et du taux de pluviométrie de votre région !

Crédit d'impôt de 25% :

Le crédit d'impôt s'applique sur votre coût d'achat ou d'installation d'équipements de récupération des eaux de pluie et s'élève à 25%. Il concerne les dépenses payées entre le 1er janvier 2007 et le 31 décembre 2009. Il s'applique plus particulièrement pour les équipements des eaux de pluie collectées à l'aval de toitures, dont l'accès est inaccessible, et pour des utilisations exclusivement à l'extérieur de l'habitation. Pour bénéficier de ce crédit d'impôt, vous devrez joindre la facture établie par l'entreprise à votre déclaration de revenus. Renseignez-vous aussi auprès de votre mairie, car certaines communes proposent des primes à l'installation de récupérateurs d'eau.

Attention, l'eau de pluie n'est pas potable !

L'eau de pluie, douce et non calcaire cache bien son jeu ! Et oui, car elle n'est pas potable. Elle contient en effet de nombreux polluants présents dans l'atmosphère, nocifs pour notre organisme. Il faudra donc filtrer cette eau pour pouvoir la consommer.

Faire des économies d'énergie au quotidien, c'est facile !



“ Un degré de moins, c'est 7 % d'économie d'énergie ”

1/Quels sont les petits gestes du quotidien qui permettent de réaliser des économies d'énergie ?

Tout d'abord, réglez vos radiateurs à une température raisonnable. 19 °C pour les pièces à vivre comme le salon, la cuisine ou la salle à manger, et 16 °C pour les chambres, c'est suffisant pour s'y sentir bien. Un degré de moins, c'est 7 % d'économie d'énergie ! D'où l'intérêt de faire installer un système de gestion centralisée du chauffage, sorte de tableau de bord qui permet de régler la température dans chaque pièce. Sinon, installez au moins des thermostats sur chaque radiateur. Autres astuces : opter pour des ampoules à basse consommation, éteindre son téléviseur, son magnétoscope ou son boîtier wifi plutôt que de les laisser en veille.

2/Quels sont les appareils à éviter pour limiter sa consommation d'électricité ?

Les frigos américains ! Ils consomment deux fois plus qu'un réfrigérateur ordinaire. Le système de climatisation ordinaire est aussi un véritable gouffre. Lorsqu'il est en état de marche, il consomme plusieurs kilowatts. Autant que si on laissait son four chauffer à pleine puissance pendant le même laps de temps. Quand vous achetez un nouvel appareil, regardez les étiquettes de performance énergétique pour choisir le modèle le moins gourmand.

3/Comment faire pour cuisiner en consommant le moins d'électricité possible ?

Il n'y a pas véritablement de différence au niveau des appareils de cuisson. Les plaques à induction consomment davantage d'énergie mais elles cuisent plus vite que les plaques électriques en fonte. Une idée serait de préparer des quantités plus importantes à chaque fois que l'on cuisine. Ainsi, pour les repas suivants, il suffira de réchauffer ces restes, au lieu d'avoir à cuisiner à nouveau en utilisant son four ou ses plaques. Mais pour éviter les gaspillages, il faut surtout ne pas oublier de faire des petits gestes simples, comme couvrir sa casserole lorsqu'on veut faire bouillir de l'eau, ou mettre les produits surgelés à décongeler au réfrigérateur pendant quelques heures avant de les cuisiner. Non seulement ils cuiront plus vite que s'ils étaient encore congelés mais, pendant qu'ils sont en train de décongeler, ils aident à rafraîchir le réfrigérateur, lui permettant ainsi de fonctionner avec moins d'électricité. C'est donc une double économie.

4/Comment profiter au maximum des heures creuses pour réduire sa facture d'électricité ?

Selon les normes de sécurité, le chauffe-eau électrique doit avoir une ligne qui lui est spécialement dédiée sur le tableau électrique. En installant un contacteur sur cette ligne, le chauffe-eau se déclenche automatiquement au moment des heures creuses et permet ainsi de faire ses réserves d'eau chaude pendant la nuit. Pour le lave-linge ou le lave-vaisselle, les modèles les plus récents possèdent des programmateurs, qui permettent de régler l'heure à laquelle on souhaite les mettre en marche. Et si l'on a un appareil plus ancien, on peut placer un minuteur sur la prise électrique à laquelle est branché son lave-linge ou son lave-vaisselle. On en trouve dans tous les magasins de bricolage et l'on peut facilement l'installer soi-même. Il suffit alors de mettre l'appareil en position “marche” et de régler le minuteur pour qu'il ne laisse passer le courant qu'au déclenchement des heures creuses.

Faire des économies pour sa planète et son porte-monnaie, c'est une simple question de modification des habitudes,et si vous avez des enfants, écoutez-les,vous verrez qu'ils sont trés réceptif et pourraient même vous rapellez de débrancher un appareil sous-tension qui consomme pour rien..!

C'est la rentrée !



Le temps des vacances on en oublierai presque que ..ça y est c'est la rentrée!
Résolution certaine, cap sur les gestes économiques et écologiques plus que jamais!


1 /Se mettre aux énergies renouvelables :
JE REPONDS AUX QUESTIONS QUE VOUS VOUS POSER :

À quelles conditions peut-on installer des panneaux solaires chez soi pour produire son électricité ?

Si vous n'avez pas une maison orientée plein sud, avec un toit incliné à 30 degrés, ce qui est l'idéal, il est toujours possible d'installer des panneaux solaires. Tout d'abord, sachez qu'une cheminée fait de l'ombre et peut constituer un problème. Même chose si l'on a des Velux car ils prennent de la place sur le toit. Pour assurer les besoins d'une famille de quatre personnes, on conseille en effet d'installer 24 m2 de panneaux photovoltaïques, soit un investissement d'environ 20 000 euros. Pour le rentabiliser plus rapidement, mieux vaut revendre l'électricité que l'on produit car EDF va la racheter 57 centimes du kilowattheure, alors qu'elle ne la facture que 12 centimes du kilowattheure. On peut donc récupérer la différence.

À quelles conditions peut-on installer une éolienne chez soi pour produire de l'électricité ?

La première condition, c'est bien sûr d'être situé dans une zone assez exposée au vent. On a aussi besoin d'un permis de construire pour installer une éolienne de plus de douze mètres de haut. Ce n'est pas le cas pour les appareils plus petits mais ils sont assez peu efficaces, à l'exception des nouvelles éoliennes à axe vertical, adaptées à la ville, à condition d'habiter un immeuble avec une toiture plate. Il faut aussi s'attendre à un investissement important, de l'ordre de 25 ou 30 000 euros, pour une éolienne capable de produire 30 à 35 000 kilowattheures par an, soit de quoi satisfaire les besoins d'une famille de quatre personnes. Et si L'on peut le financer en partie grâce à un crédit d'impôt, il n'est par contre plus possible de revendre son surplus d'électricité à EDF, à moins d'habiter l'une des rares zones de développement éolien (Z.D.E).

Est-il possible de produire suffisamment d'électricité avec les énergies renouvelables pour être complètement auto-suffisant ?

Pour être totalement autonome en électricité grâce au solaire et à l'éolien, on doit nécessairement installer des batteries pour stocker son électricité. Il n'y a pas toujours du vent et, la nuit, lorsqu'on allume la lumière, il n'y a plus de soleil pour alimenter les panneaux photovoltaïques. La norme, c'est d'installer le nombre de batteries nécessaires pour stocker assez d'électricité pour satisfaire ses besoins pendant une dizaine de jours. C'est assez compliqué à mettre en place car il faut bien déterminer ses besoins pour être sûr de ne jamais manquer d'électricité. Cela coûte également assez cher, autant voire plus que l'installation des panneaux photovoltaïques. Soit un budget total d'au moins 40 000 euros pour une famille de quatre personnes. À cela s'ajoute la maintenance des batteries et leur remplacement, tous les cinq à sept ans.

Quelle solution choisir pour se chauffer grâce aux énergies renouvelables ?

Si l'on fait construire, il faut opter pour une solution géothermique avec une pompe à chaleur. C'est un système en circuit fermé, qui va produire de la chaleur grâce à un fluide caloporteur et un compresseur. Ce compresseur va certes avoir besoin d'être branché sur le réseau électrique pour fonctionner mais une pompe à chaleur avec un coefficient de performance de 4 va permettre de produire 4 kilowattheures d'électricité en consommant seulement 1 kilowattheure. Lorsqu'on a une chaudière au fioul, il est aussi possible d'installer une pompe à chaleur, qui va préchauffer le fluide à l'entrée de la chaudière et ainsi permettre de réduire fortement sa consommation de fioul. Vu le prix du fioul, on il est possible de récupérer son investissement en trois ou cinq ans. Dans une maison vraiment bien isolée, on peut également opter pour un poêle à bois ou un poêle à granulés, qui séduisent de plus en plus d'acheteurs.

dimanche 2 août 2009

Rubrique Home stager

Home stagers, Bienvenue!

Cette rubrique est la vôtre!
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